Des nouilles étirées à la main dans tout Manhattan

Le premier établissement Dun Huang dans le Queens n'est ouvert que depuis quelques années, mais les choses ont beaucoup changé. Les nouilles étirées à la main font fureur et de nombreuses enseignes ont fleuri un peu partout. Quant à Dun Huang, la marque compte désormais sept restaurants et prévoit en ouvrir d'autres dans un avenir rapproché.

Mais Shiyang Li, responsable de l'emplacement de Grand Central, est le premier à expliquer qu'il ne s'agit pas d'attirer les gens, mais d'aller vers eux.

Comment? En faisant confiance à des saveurs classiques qui ont su résister à l'usure du temps. « C'est ce que je mangeais enfant dans mon village, explique-t-il. On ne veut pas faire de changements trop importants. »

La concurrence s'est intensifiée cette année, c'est incontestable, parce que les nouilles sont très faciles à faire. Mais nous essayons de nous en tenir à notre savoir-faire traditionnel.

La tradition est une chose. Les affaires en sont une autre. Tout comme les nouilles au bœuf Lanzhou de Dun Huang (de loin le plat qui se vend le mieux, aussi bien sur place qu'en livraison), Shiyang est capable d'étirer un peu plus son activité. « La livraison est très tendance dans le centre de Manhattan. »

Shiyang avait déjà personnellement utilisé l'app Uber Eats pour commander des repas. Intrigué par le concept, il a ensuite tenté de configurer son restaurant en tant que partenaire-restaurant sur la plateforme Uber Eats, opération qui s'est avérée très simple. « C'était très facile », se souvient-il. À partir de là, les ventes ont décollé. « La livraison est très tendance dans le centre de Manhattan. » La mise en relation avec les livreurs de la plateforme Uber Eats lui permet de livrer ses plats aux quatre coins de Manhattan en toute confiance.

Dès le début, l'objectif de Shiyang était de tirer le meilleur parti possible des plateformes tierces. Son restaurant en utilise au moins six pour atteindre de nouveaux clients. Mais globalement, Dun Huang se sent particulièrement à l'aise avec les ventes qu'il enregistre sur la plateforme Uber Eats.

Shiyang met toujours un point d'honneur à satisfaire les amateurs de Dun Huang. Il trouve particulièrement utile l'analyse des données Uber Eats fournies aux partenaires-restaurants tels que le sien.

« Je consulte ces données quotidiennement, explique-t-il. Principalement les avis : les plats les plus appréciés et ceux qui le sont le moins. » Shiyang a récemment remarqué quelques avis où les clients trouvaient le plat Monstrous Plate Chicken trop épicé. Son équipe et lui ont donc diminué la quantité d'épices, juste ce qu'il faut pour que le plat demeure indiqué comme « épicé » pour les nouveaux clients consultant l'app Uber Eats.

« C'est vraiment une fonctionnalité utile. Les clients qui mangent sur place ne font pas ce genre de commentaire. »

Après le succès fulgurant de Shiyang en tant que partenaire-restaurant Uber Eats, nous lui avons demandé s'il avait des conseils à donner aux propriétaires de restaurants qui hésitent à se lancer sur la plateforme Uber Eats. Voici sa réponse : « L'inscription est très facile. Uber Eats nous offre une nouvelle source de revenus importante. Alors mon conseil, c'est de ne pas hésiter. N'ayez pas peur de vous lancer. »